CN: présentation de la stratégie de la formation professionnelle devant la commission ad-hoc
Publié par l’APS le : Mardi, 04 Juin 2024
ALGER - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi a présenté mardi, devant les membres de la Commission de l'éducation, de la formation, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses du Conseil de la nation, la stratégie et les perspectives, ainsi que les mesures de numérisation du secteur.
Lors de cette rencontre présidée par le président de la commission, Laid Madoui, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Besma Azouar et le vice-président du Conseil de la nation, Ahmed Kherchi, le ministre a fait état de "la mise en place d'une stratégie à même d'adapter l'axe directeur du domaine de la formation professionnelle aux exigences du développement à travers l'élaboration de programmes, l'actualisation des outils de formation et l'encadrement des formateurs tout en adoptant des mesures en faveur de la numérisation et de la modernisation du secteur".
Un plan de formation a été mis en place au niveau local "en tenant compte des spécificités géographiques et du tissu économique de chaque région", a fait savoir le ministre ajoutant qu'il s'agit, en outre, d'œuvrer à "l'amélioration, à l'adaptation et à la mise à jour des programmes de formation".
Il a également évoqué les mesures et moyens mis en place par le secteur au profit des demandeurs de formation, rappelant qu'au cours de l'année de formation écoulée, "environ 300.000 places pédagogiques ont été ouvertes, dont 482 au profit des personnes aux besoins spécifiques au niveau national, réparties selon la nature, les modes et les dispositifs de formation".
Il a souligné que dans le cadre de la stratégie de numérisation, le secteur avait adopté des mesures visant "à moderniser la gestion pédagogique et administrative et les activités des établissements de formation", citant le lancement de plusieurs plateformes numériques, dont "Mihnati" destinée aux demandeurs de la formation et "Dalil" contenant des informations sur les établissements de formation, les spécialités, filières et programmes de formation.
Evoquant les perspectives futures du secteur, le ministre a cité en particulier "le projet de jumelage entre les établissements de formation visant à favoriser l'échange entre formateurs et stagiaires et à relancer l'action participative", "le renforcement du partenariat entre le secteur et les opérateurs économiques, à la faveur d'études conjointes pour définir les programmes et méthodes", outre "le développement de la formation à distance, du mode d'apprentissage et la modernisation de ses mécanismes".
A l'ouverture de la séance, le président de la commission a souligné l'importance de ce thème comptant "parmi les priorités tracées dans le programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune qui a fait de la formation professionnelle un moyen de promotion des opportunités d'emploi de jeunes, dynamiser l'économie et la production nationale".
CN: présentation de la stratégie de la formation professionnelle devant la commission ad-hoc
Publié par l’APS le : Mardi, 04 Juin 2024
ALGER - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi a présenté mardi, devant les membres de la Commission de l'éducation, de la formation, de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses du Conseil de la nation, la stratégie et les perspectives, ainsi que les mesures de numérisation du secteur.
Lors de cette rencontre présidée par le président de la commission, Laid Madoui, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Besma Azouar et le vice-président du Conseil de la nation, Ahmed Kherchi, le ministre a fait état de "la mise en place d'une stratégie à même d'adapter l'axe directeur du domaine de la formation professionnelle aux exigences du développement à travers l'élaboration de programmes, l'actualisation des outils de formation et l'encadrement des formateurs tout en adoptant des mesures en faveur de la numérisation et de la modernisation du secteur".
Un plan de formation a été mis en place au niveau local "en tenant compte des spécificités géographiques et du tissu économique de chaque région", a fait savoir le ministre ajoutant qu'il s'agit, en outre, d'œuvrer à "l'amélioration, à l'adaptation et à la mise à jour des programmes de formation".
Il a également évoqué les mesures et moyens mis en place par le secteur au profit des demandeurs de formation, rappelant qu'au cours de l'année de formation écoulée, "environ 300.000 places pédagogiques ont été ouvertes, dont 482 au profit des personnes aux besoins spécifiques au niveau national, réparties selon la nature, les modes et les dispositifs de formation".
Il a souligné que dans le cadre de la stratégie de numérisation, le secteur avait adopté des mesures visant "à moderniser la gestion pédagogique et administrative et les activités des établissements de formation", citant le lancement de plusieurs plateformes numériques, dont "Mihnati" destinée aux demandeurs de la formation et "Dalil" contenant des informations sur les établissements de formation, les spécialités, filières et programmes de formation.
Evoquant les perspectives futures du secteur, le ministre a cité en particulier "le projet de jumelage entre les établissements de formation visant à favoriser l'échange entre formateurs et stagiaires et à relancer l'action participative", "le renforcement du partenariat entre le secteur et les opérateurs économiques, à la faveur d'études conjointes pour définir les programmes et méthodes", outre "le développement de la formation à distance, du mode d'apprentissage et la modernisation de ses mécanismes".
A l'ouverture de la séance, le président de la commission a souligné l'importance de ce thème comptant "parmi les priorités tracées dans le programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune qui a fait de la formation professionnelle un moyen de promotion des opportunités d'emploi de jeunes, dynamiser l'économie et la production nationale".
Béjaia: coup d'envoi du Salon national de l'innovation
Publié par l’APS le : Samedi, 01 Juin 2024
BEJAIA - Le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a donné, samedi, à partir de Béjaia, le coup d’envoi du Salon national de l'innovation à travers toutes les wilayas du pays, conviées à suivre la cérémonie organisée au siège de la wilaya, au moyen d’une vidéo conférence.
Cette manifestation, qui va durer trois jours, est un "carrefour d’exposition et d’échange entre les porteurs de projets, notamment les lauréats et les diplômés du secteur et les partenaires économiques", a déclaré le ministre.
"L’objectif du Salon est de développer la culture de l’entreprenariat dans un climat de compétitivité créative", a souligné M. Merabi, expliquant que "l’occasion est de donner l’opportunité aux porteurs de projet de faire connaitre leurs produits et de renforcer leurs acquis professionnels pour mieux les développer, d’une part, et d’autres part, pour permettre aux investisseurs locaux de s’en emparer".
A ce titre, il a mis l’accent sur la nécessité de focaliser sur les innovations technologiques, seules à même de permettre de relever les défis mondiaux qui s’imposent, a-t-il estimé.
M. Merabi a insisté, dans ce sens, sur la nécessité de s'adapter à l’air du temps, en faisant preuve d’innovation et de création à tous les niveaux, qu’il s’agisse d’idées, de gestion des projets ou des moyens à mettre en œuvre.
Le ministre a, à l'occasion, rappelé les efforts déployés par le secteur afin que ses stagiaires et diplômés autant que l'encadrement, soient au diapason.
Il a, à ce propos, évoqué l’attention "soutenue" accordée à la dynamique de numérisation des activités du secteur, de ses structures et moyens, qui relève d’une stratégie numérique globale qui vise "une grande transformation de tout le système et les méthodes du passé".
Le ministre a saisi l'occasion de sa présence à Bejaia pour se rendre au centre de formation professionnelle et d'apprentissage (CFPA) "Lakehal Younès", où se tient le salon, constatant de visu les promesses juvéniles dans divers domaines scientifiques et économiques.
Beaucoup de projet d'innovation connaissent une réussite remarquable, à l’instar d’une entreprise de cycles et motocycles dont le succès l'a désormais implantée à l’étranger notamment en Côte-d’Ivoire et au Sénégal, selon les explications fournies sur place.
A noter que le Salon national de l'innovation a mis en évidence pas moins d’une trentaine de petites entreprises qui, par leur succès, vont contribuer à la dynamique du développement local.
Formation professionnelle: des progrès numériques pour moderniser le secteur
Publié par l’APS le : Dimanche, 12 Mai 2024
BOUIRA - Le ministre de la Formation et l’Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a loué dimanche à Bouira, les progrès réalisés en matière de modernisation de son secteur grâce au processus de numérisation lancé à travers une multitude de plateformes et d'applications créées à cet effet.
S’exprimant lors d’une journée ouverte tenue à Bouira avec la participation des acteurs locaux de la société civile, et suivie par visioconférence par les cadres du secteur à l’échelle nationale, le ministre a vivement salué les efforts consentis par les cadres de son secteur pour développer des plateformes et programmes numériques, comme "Tasyir", afin d’assurer une gestion globale et transparente du secteur.
"Tasyir concrétise sur le terrain les progrès numériques que connaît le secteur ", a souligné M. Merabi, lors de cette rencontre organisée à l’institut national spécialisé de la formation professionnelle Kebbabi Mohamed Ouali de la ville de Bouira.
Le recours à cette plateforme alimentée continuellement en données "nous permet d’avoir une vision claire sur le cours du développement de tout le secteur grâce aux différents services qu’elle offre en matière notamment de gestion à travers les différents établissements de la formation professionnelle", a ajouté le ministre.
Outre "Tasyir", le secteur connaît aussi la création d’autres applications et plateformes comme" Mihnati, Massar Mihani, Moutakawin", destinées, entre autres, à sensibiliser les jeunes ainsi que les entreprises économiques sur les différentes opportunités offertes par le secteur en matière de spécialités et d’emploi.
Le ministre a fait savoir que d’autres programmes et plateformes de ce genre comme "Douroussi, Charaka, Dalil", et d’autres, seront lancées et mis en services bientôt afin de permettre au secteur "d’aller vers une véritable numérisation".
"Toutes ces réalisations numériques s’inscrivent dans le cadre de la stratégie nationale visant à moderniser le secteur pour aller vers une meilleure gestion technique, pédagogique, administrative et financière ", a encore souligné M. Merabi.
Il a fait savoir, par ailleurs, que toutes les données et informations électroniques du secteur vont être enregistrées et sécurisées au Centre national algérien des services numériques, rappelant que la convention de réalisation de ce centre a été signée le 20 avril 2024 entre le Haut commissariat à la numérisation et le groupe chinois Huwei. Ce dernier (Huawei) pourrait donc œuvrer à l’encadrement du processus de la numérisation et la mutation numérique dans notre pays, a-t-il dit.
Pour la formation à distance et la certification électronique des diplômes, le ministre a rappelé qu’un accord avait signé en février dernier entre l’Autorité Gouvernementale de Certification Electronique et l’Office National de Développement et de Promotion de la Formation Continue.
Sur un autre volet, le ministre a rappelé l’importance de son secteur, car "il permet d’assurer au pays une main d’œuvre qualifiée qui peut travailler dans les différents domaines", a-t-il dit.
Au cours de sa visite, M. Merabi, a inauguré un centre de formation professionnelle à Bir Ghbalou, ainsi qu’un institut national spécialisé de la formation professionnelle, baptisé du nom du chahid Missoum Aissa à Ain Bessam.
A Sour El Ghouzlane, il s’est enquis de la prise en charge des apprentis au sein de la cimenterie relevant du Groupe Industriel des Ciments d'Algérie (GICA).
Dans la zone industrielle d’Oued El Bardi, il a visité une unité de fabrication de produits pharmaceutiques relevant du groupe Magpharm, qui emploie plus de 1.000 personnes entre ingénieurs et techniciens à travers ses différentes unités à l’échelle nationale.
A M’Chedallah, M. Merabi a présidé une journée d’étude sous le thème "la cybersécurité" organisée à l’institut spécialisé de la formation professionnelle Heddad Mohamed.
La réussite ou l’échec scolaire de nos enfants Les parents sont-ils responsables?
Publié le 13.04.2024 dans le Quotidien l’Expression
L’attitude de la famille, notamment celle des parents, est un facteur clé du déroulement de la scolarité de notre progéniture.
Toutes les familles sont attachées à la réussite scolaire de leurs enfants
L'implication des parents dans la vie scolaire des enfants est essentielle pour leur réussite. Leur collaboration avec le personnel enseignant et les intervenants scolaires est primordiale. Cela permet de mieux comprendre ce qui se passe à l'école et de faire un meilleur suivi des apprentissages de nos enfants. Le projet c'est d'ouvrir l'école aux parents pour voir les progrès de leurs enfants dans leur cursus scolaire car la participation des parents dans le domaine de l'éducation est une force considérable qui est trop souvent sous-estimée dans notre système éducatif et pourtant elle est constitutive de cette réussite scolaire.
Toutes les familles sont attachées à la réussite scolaire de leurs enfants, or, cette réussite dépend du dialogue entre le personnel enseignant et les parents qui sont impliqués dans l'accompagnement de la scolarité de leur progéniture, ils sont considérés désormais comme des membres à part entière de la communauté éducative et doivent être associés aux prises de décisions, notamment dans le cadre de leur participation aux différentes instances pour lesquelles ils élisent leurs représentants.
Comment les parents peuvent guider leurs enfants sur le chemin de la réussite scolaire
Le rôle des parents est primordial, voire complémentaire à celui du personnel enseignant. Ils sont là pour encadrer leurs enfants, soutenir leurs efforts, les encourager et les accompagner dans leur cursus scolaire. Vous parents, vous n'avez surtout pas à vous transformer en enseignant, vous êtes là pour les aider de plusieurs façons. Assurez- vous que votre enfant dispose d'un endroit calme et organisé pour entamer ses travaux scolaires, et si cet endroit est un espace de vie commune, limitez, le plus possible les sources de distraction. Fournir les meilleures conditions possibles à votre enfant est important. Guidez- les pour utiliser les bonnes stratégies. Posez leur des questions: quelle démarche faut-il suivre pour résoudre ce problème? Quelle règle grammaticale faut-il appliquer? Comment traduit-on ce mot en arabe ou en français? Aidez vos enfants tant que vous pouvez dans leurs devoirs et leurs leçons sans faire le travail à leur place, cela renforcera leur apprentissage à la maison. Amenez vos enfants à réviser régulièrement les notions apprises à l'école pour leur faciliter l'assimilation des matières. Aidez-les à reformuler les mots qu'ils avaient appris à l'école. Restez toujours à leur écoute et maintenez toujours avec eux le dialogue.
Influence de l'environnement familial
Les parents ont un rôle important à jouer, contrairement à ce qu'on a toujours pensé. L'école n'est pas l'unique responsable de la réussite scolaire des enfants. En effet, l'attitude de la famille, notamment celle des parents est un facteur clé du déroulement de la scolarité de notre progéniture. Les disputes fréquentes à la maison des parents, les séparations, les divorces, les déménagements de temps à autre, tout cela peut déséquilibrer votre enfant et remettre ainsi en cause son apprentissage et ses études. Par contre votre attention, votre intimité et harmonie familiales sont des facteurs importants à accorder à votre enfant, surtout en période d'examen pour espérer une probable réussite. Beaucoup d'échecs scolaires soudains et passagers s'expliquent au départ par une absence ou une rupture de cet équilibre psychologique et affectif qui fait défaut dans certaines familles où l'enfant ne se sentira pas en sécurité, ses capacités qu'il devra mobiliser pour ses études il les utilisera plutôt pour résoudre ses problèmes affectifs et tenter d'assurer sa propre sécurité.
Le devoir de communication
Dans ces conditions, les échecs scolaires de votre enfant deviennent inconsciemment des appels au secours. En fait, ce dont votre enfant a le plus besoin pour construire sa réussite, c'est avant tout l'affection, la considération, la confiance en soi, l'attention et l'amour que vous lui communiquez, tout cela pourra renforcer ses sentiments de sécurité, son existence, sa valorisation et sa personnalité en vue d'une réussite scolaire certaine. Également les facteurs sociaux-économiques et culturels de la famille influent d'une manière directe ou indirecte sur le rendement et la réussite scolaire des enfants et des adolescents. Par conséquent, un sentiment de rejet et d'indifférence des parents créera une mauvaise opinion et une sous-estimation de lui-même de ce fait, une reconnaissance, une approbation, une disponibilité de la part de ses parents pourra conduire chez lui une meilleure prise de conscience, de la confiance en soi, de la volonté à apprendre, de la motivation pour de meilleurs résultats.
Certes, cette réussite ne dépend pas uniquement de l'école ou des capacités mentales de l'élève mais surtout des parents qui ont un rôle à jouer sur le plan psychologique, sociologique et éducatif de leur progéniture.
Aider les parents dans l'accompagnement de leurs enfants
tout enfant pourra réussir dans ses études.
Il faut trouver «les bonnes recettes» c'est-à-dire des enseignants de qualité bien formés sur le plan de la pédagogie, de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent et de la didactique, des parents présents et à l'écoute, les outils doivent être adaptés à l'enfant. Chacun à son rythme. Certes, des parents instruits c'est important, mais un parent qui ne sait ni lire ni écrire peut par sa présence seulement, ses encouragements, l'accompagnement de son enfant dans son cursus scolaire le faire arriver à des résultats satisfaisants. Cet enfant doit être nourri par une certaine affection, une confiance en soi et une motivation d'apprentissage.
Dire je ne sais pas lire et écrire donc je ne peux pas aider mon enfant, c'est faux! C'est absolument injuste! Il est vrai qu'être instruit c'est très important, mais ce n'est pas déterminant, ce qui est déterminant, c'est d'être tout le temps à l'écoute de son enfant, de le suivre dans ses progrès d'apprentissage à travers les notes obtenues dans ses devoirs, suivre son assiduité aux cours, son comportement à l'intérieur et l'extérieur de l'école, son comportement avec ses professeurs et ses pairs.
L'école donne des informations pour chaque enfant pour que les parents puissent tout simplement être plus responsables envers leur progéniture. Contrôlez et limitez leur utilisation abusive de leurs smartphones et les jeux vidéos qui captent involontairement leur attention et les empêchent de faire leurs devoirs à la maison en temps opportun.
Conclusion:
L'éducation de nos enfants est une multitude de facteurs et d'influences. Deux institutions ont un rôle primordial et une responsabilité formelle dans le domaine de l'éducation vis-à-vis de la société ce sont la famille et l'école. Les parents ont toujours été et resteront les premiers éducateurs de l'enfant. Ils ont le devoir de mettre en place les valeurs morales et intellectuelles pour assurer l'avenir de leur progéniture. Cependant face aux innombrables sources d'information qu'offrent les médias et la révolution numérique, l'école comme les parents ont du mal à conserver leur autorité morale incontestée d'autrefois dans le domaine de l'éducation d'où surgissent les problèmes de la violence scolaire, de l'intolérance, de l'abus d'utilisation des smartphones les éloignant de toute relation sociale dans la famille tout en les empêchant de faire leurs devoirs et leurs études dans les délais impartis.
Selon les experts, les parents évitent l'école de peur d'être jugés par rapport à la réussite
scolaire de leurs enfants. Contacter un professeur est souvent associé à un problème ou une urgence, donc une attitude plus positive de la part des enseignants aiderait les parents à s'impliquer davantage dans la vie scolaire de leurs enfants.
* Professeur, retraité, en psychopédagogie et en sciences de l'éducation
Notes: -Implication parentale et réussite scolaire, rôle de la Médiation parentale Josiane Caron (2005)
-Parental involvement with children's education Robinson and Angel(2008)
- L'implication des parents dans la réussite scolaire de leurs enfants Anne Barbara et Helenne Ferrand (2015)
Mohammed MOULESSOUIGA